A l’heure avancée du confinement où l’ensemble des difficultés sociales ordinaires se sont marquées auprès de nos apprenants/stagiaires avec plus encore d’intensité et de sensibilité, que ce soit en termes financiers et budgétaires, de structures familiales, de logement, de santé, d’accès à l’information et aux moyens de communication, d’isolement… A l’heure où les travailleurs sociaux que nous sommes sont, jour après jour, à l’écoute des problématiques qui se posent et dans l’action professionnelle et humaine, parfois contre vents et marées, pour éviter que les inégalités de toutes sortes ne s’étendent encore… A l’heure prochaine du déconfinement générateur de peurs légitimes et d’interrogations souvent sans réponses certaines, les stagiaires du Piment prennent la plume et la parole, et expriment, au-delà de la fracture numérique, leurs volontés de « ne pas en rester là », entre constats sans appel et propositions qui ne peuvent rester lettre morte !
“Face au coronavirus, les naufragés du numérique”
Article de La Libre Belgique paru le 3 juin 2020 : https://bit.ly/3700Ncz
1 Comment
Si je suis d’accord qu’ils nous donnent des cours d’informatique et nous apprennent la nouvelle méthode d’apprentissage par internet, qu’ils nous donnent la facilité d’avoir un ordinateur et Internet un téléphone intelligent … je veux apprendre le français … et comment ça se passait bien. .mais cette pandémie s’est produite … j’ai besoin du meilleur pour nou